Figaro. Nous parlions, belle Suzon, du bonheur qu’il aura de vous posséder. Oh ! - 1 citations - Référence citations - Citations Le Mariage de Figaro (1784), I, 1 Sélection de 1 citation et proverbe sur le thème Le Mariage de Figaro (1784), I, 1 Découvrez un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase Le Mariage de Figaro (1784), I, 1 issus de livres, discours ou entretiens. Monseigneur, vos vassaux, touchés de l’abolition d’un certain droit … Puisqu’on ne peut vous garder seulement aujourd’hui, partez, jeune homme. Il n’a renoncé qu’à celui qui vous affligeait tous. donne-le-moi, mon cœur. Désirer du bien à une femme, est-ce vouloir du mal à son mari ? vous croyez parler à votre Fanchette. Tu sais que le roi m’a nommé son ambassadeur à Londres. 1. mon Figaro ? Tu prends de l’humeur contre la chambre du château la plus commode, et qui tient le milieu des deux appartements. Ô perfidie ! Lisez ce Littérature Commentaire de texte et plus de 247 000 autres dissertation. À mon amant aujourd’hui ? Commentaire : le mariage de figaro acte 1 scène 2 484 mots | 2 pages. Suzanne se retire. qu’il a jeté ses vues, auxquelles il espère que ce logement ne nuira pas. Tu sais trop bien, méchante, que je n’ose pas oser. — Son cœur ! Un nouvel état vous appelle ; allez le remplir dignement. 4. laisse-le-moi, Suzon ; je te donnerai ma romance ; et, pendant que le souvenir de ta belle maîtresse attristera tous mes moments, le tien y versera le seul rayon de joie qui puisse encore amuser mon cœur. Le mot de Figaro ne dit donc rien, ... Dans la fête du quatrième acte, le comte lui pose sur la tête une toque à long voile, à hautes plumes, et à rubans blancs. J’entends, monsieur le comte ; trois promotions à la fois : vous, compagnon ministre ; moi, casse-cou politique ; et Suzon, dame du lieu, l’ambassadrice de poche ; et puis fouette, courrier ! Tant va la cruche à l’eau…, Ah ! On voit le couple des futurs époux évoluer parmi les symboles de l’amour et des noces (« beau lit », « bouquet de fleurs d’orange », « chapeau de la mariée »). Tel est désormais l’enjeu de la pièce et l’urgence de la situation. que ce joli bouquet virginal, élevé3 sur la tête d’une belle fille, est doux, le matin des noces, a l’œil amoureux d’un époux !…. L’examinateur introduira l’échange et peut vous poser des questions sous forme de relances. Contact : lescoursjulien@yahoo.fr Le Mariage de Figaro, Acte I, scène 10, « Que voulez vous ? De l’intrigue et de l’argent : te voilà dans ta sphère. quand elles sont sûres de nous ! Qui sait le sort d’un enfant jeté dans une carrière aussi dangereuse ! espiègle, vous n’applaudissez pas ? Sans compter monseigneur, dont on ne parle pas. Eh bien ! il n’en sera que ce que vous voulez. il nous écoutait ! Nous n’avons point de lendemain qui nous excuse, nous. Aujourd’hui, par exemple, il marie notre Suzanne à son Figaro, qu’il comble en faveur de cette union…, Pas tout à fait ; mais dont Son Excellence voudrait égayer en secret l’événement avec l’épousée…. Autre fourberie ! Je ne m’en défends pas. Face à eux, les serviteurs, incarnations de la jeunesse, de la vertu et de l’innocence. elle nommait mon cousin Figaro. Parfois, l’emploi de la troisième personne introduit une solennité courtoise (« la tête d’une belle jeune fille », « l’œil amoureux d’un époux » – métonymie par laquelle Figaro se désigne lui-même). By Nathalie Guillerm in ZZ 1ère Beaumarchais on 25 novembre 2019. FIGARO. monseigneur ! Et vous bien scélérat, d’aller semant de pareils bruits pour perdre un malheureux enfant tombé dans la disgrâce de son maître. Faire à Londres, en même temps, les affaires de votre maître et celles de votre valet ! Je ne sais plus ce que je venais prendre. Le mien est plus difficile que tu ne crois. Comment mon mariage éloigne-t-il du château le premier page de monseigneur ? Le bon argument de femme en colère ! C’est son chien d’amour qui la berce ; elle aurait troublé notre fête. Et c’est ce que le loyal Basile, honnête agent de ses plaisirs, et mon noble maître à chanter, me répète chaque jour en me donnant leçon. Laisse là ma figure, et ne vantons que sa vertu. ô mon mignon ! Des horreurs. Vous les voyez, monsieur le comte, ils me supposent un crédit que je n’ai point ; mais comme leur demande n’est pas déraisonnable…, Monseigneur, vos vassaux, touchés de l’abolition d’un certain droit fâcheux que votre amour pour madame…. Hélas ! Mais ne croyez pas non plus que je regarde monsieur Figaro comme l’obstacle qui nuit à monseigneur ; et, sans le petit page…. Il me priait d’engager madame à vous demander sa grâce. Il viendra passer ses hivers. Je n’en veux point, monseigneur, je n’en veux point. Puisses-tu mentir en le disant ! Au siècle des Lumières, le théâtre est un genre propre à traiter de questions sociales pour un large public tout en le faisant rire. Je cherchais aussi pourquoi, m’ayant nommé concierge, il m’emmène à son ambassade, et m’établit courrier de dépêches. Elle est saisie. Et qui m’a volé dans le temps cent écus que j’ai sur le cœur. (Haut.) Comme il est familier donc ! On vous surprend chez elle, et vous soupirez pour madame ; et vous m’en contez à moi, par-dessus le marché ! Introduction. Ces anomalies soulignent l’implicite malicieux des répliques entre Figaro et Suzanne. Ce début bouleverse les repères traditionnels de la comédie : habituellement dans les comédies classiques (des xviie et xviiie siècles) le mariage (en général entre les maîtres) clôt la comédie. Suzanne. Ma tête s’amollit de surprise, et mon front fertilisé…, S’il y venait un petit bouton, des gens superstitieux…. – Qu’entendez-vous par ces paroles ? Jamais fâché, toujours en belle humeur ; donnant le présent à la joie, et s’inquiétant de l’avenir tout aussi peu que du passé ; sémillant, généreux ; généreux…. ► 2. question de grammaire. Le Mariage de Figaro (1784). Figaro, avec une toise, mesure le plancher. Figaro, toujours aussi entreprenant, veut convaincre : il résume la situation des valets dans leur futur domicile par un petit scénario « idéal » à ses yeux (chacun à proximité de son maître ou de sa maîtresse, prêt à le/la servir à tout moment), et il le fait avec ses moyens de valet ingénieux mais naïf : on imagine, à travers la verve qu’il déploie (emploi dynamique de l’interjection « zeste », de l’onomatopée « crac »), sa gestuelle d’acrobate (les « deux pas », les « trois sauts ») pour mimer ce qu’il raconte…. L’action se noue autour d’un personnage absent mais inquiétant : « Monseigneur », homme de « plaisirs », se révèle un obstacle redoutable, menaçant de perturber la fête initialement annoncée. ouiche ! Elle m’est d’un tel avantage aujourd’hui, que je désire être le premier à la célébrer à mes noces. Beaumarchais, Le Mariage de Figaro - Acte I, scène 1 I. Beaumarchais - Œuvres complètes, Laplace, 1876.djvu, Beaumarchais - Œuvres complètes, Laplace, 1876.djvu/11, Dernière modification le 22 mars 2015, à 21:40, https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Le_Mariage_de_Figaro/Acte_I&oldid=5009043, licence Creative Commons Attribution-partage dans les mêmes conditions. Comme un seigneur ; charmant enfin : mais c’est le plus grand monstre ! Il m’a trouvé hier au soir chez ta cousine Fanchette, à qui je faisais répéter son petit rôle d’innocente, pour la fête de ce soir : il s’est mis dans une fureur en me voyant ! Toujours amère et provoquante ! 2. en trois sauts me voilà rendu. [Présenter le contexte] Beaumarchais fait de Figaro – personnage principal de sa première comédie, Le Barbier de Séville – le protagoniste de son Mariage de Figaro. Et l’enfant ne l’est pas du tout ! Ah ! C’est-à-dire que je ne le suis pas, et qu’on peut oser avec moi…. Basile ne t’a pas laissé ignorer mon amour. Ici la pièce s’ouvre sur l’imminence du mariage des valets. À moins qu’il ne l’ait composée pour madame ! Figaro. (Haut.) Chef-dœuvre du théâtre français et universel, la pièce est en effet considérée, par sa dénonciation des privilèges archaïques de la noblesse et plus particulièrement de l'aristocratie, comme lun des signes avant-coureurs de la Révolution française, donc comme une œuvre politique et satire de la société inégalitaire et de la justice vénale d'Ancien Régime. on ne l’aura, vois-tu, qu’avec ma vie. Adieu, mon petit fi, fi, Figaro ; rêve à notre affaire. Acte I Jour de noces au château d’Aguas Frescas, près de Séville, chez le comte Almaviva, « grand corregidor » [juge suprême] d’Andalousie. Pardon, mais c’est alors que je me suis blotti dedans. Ce n’est donc plus pour ma maîtresse que vous soupirez en secret ? que dit la sagesse des nations ? Tiens, Figaro, voilà mon petit chapeau : le trouves-tu mieux ainsi ? C’était pour recevoir mon page que vous désiriez d’être seule ? C’est bien dommage ; écoutez donc monsieur ! Banale, elle ne l’est pas puisque Louis XVI, sensible à la critique de la noblesse et des privilèges qu’elle met en lumière, manifeste une opposition farouche à sa représentation.… c’est un bon tour que de faire épouser ma vieille gouvernante au coquin qui fit enlever ma jeune maîtresse. [Mettre l’extrait en perspective] Elle propose un couple de serviteurs singuliers : l’intrigue semble devoir reposer autant sur le valet ingénieux (Figaro) que sur la servante avisée et pleine d’esprit (Suzanne). – Tiens, Figaro, voilà mon petit chapeau ; le trouves-tu mieux ainsi ? Suzette, ce droit charmant ! Est-ce ma noce avec Suzon qui vous attire au château ? Tout le mal dont il est capable. Quelle douce réciprocité ! Or, puisqu’il faut être au moins considérée, que toute femme en sent l’importance, effrayons d’abord la Suzanne sur la divulgation des offres qu’on lui fait. Amuser votre cœur, petit scélérat ! [Amorce] Le Mariage de Figaro de Beaumarchais peut apparaître comme la suite du Barbier de Séville puisqu’on y retrouve les mêmes personnages, quelques années plus tard. Figaro. Railleur fade et cruel, que ne vous débarrassez-vous de la mienne à ce prix ? – Tu croyais, bon garçon ! Innocente comme un vieux juge ! Tu te moques, ami ! BEAUMARCHAIS : LE MARIAGE DE FIGARO : ACTE I SCENE 10 (COMMENTAIRE COMPOSE) Introduction:. Si madame, si ma belle marraine ne parvient pas à l’apaiser, c’est fait, Suzon, je suis à jamais privé du bonheur de te voir. vous lui causerez des chagrins ! si tu venais en jaser sur la brune, au jardin, je mettrais un tel prix à cette légère faveur…. Sur une exclamation, brève comme un cri (« Fort bien ! – Sans comparaison, ma charmante. Demandez à l’examinateur s’il préfère que vous lisiez l’ensemble du texte (noms des personnages, didascalies, répliques) ou seulement les répliques que l’on entend sur scène. – Que mesures-tu donc là, mon fils4 ? Elle ne l’aurait pas, la rusée, si vous vouliez m’aider, mon petit docteur, à faire valoir un engagement que j’ai de lui. Il est au désespoir ; monseigneur le renvoie. Suzanne. Suzanne prend la robe qu’elle apportait, en couvre le page, et se met devant le fauteuil.). société actuelle. Suzanne attache à sa tête, devant une glace, le petit bouquet de fleurs d’orange, appelé chapeau de la mariée. — Sortez ! Le dialogue porte les marques du discours amoureux et de la tendresse. Mon sexe est ardent, mais timide : un certain charme a beau nous attirer vers le plaisir, la femme la plus aventurée sent en elle une voix qui lui dit : Sois belle si tu peux, sage si tu veux ; mais sois considérée, il le faut. Sachons bien nos rôles aujourd’hui. Suzon, je donnerais… Qu’est-ce que tu tiens donc là ? elle est femme ! Faisons vite chercher Marceline. mon cher monseigneur ! Parle, parle, ma chère ; use aujourd’hui d’un droit que tu prends sur moi pour la vie. Mille soufflets, si vous approchez ! Allez, madame ! – Tu prends de l’humeur contre la chambre du château la plus commode, et qui tient le milieu des deux appartements. C’est une caverne ! Présentation de la pièce. 1. Basile, vous passerez chez moi. Elle insinue que le Comte lui fait la cour et a choisi cette chambre pour pouvoir la … Je vois que Basile avait raison. Je regarde, ma petite Suzanne, si ce beau lit que Je le dis, parce que tout le monde en parle. Tant va la cruche à l’eau, qu’à la fin…. Là, là, mauvaise ! Elle la troublera, je t’en réponds. Figaro, avec une toise, mesure le plancher. Tiens, Figaro, voilà mon petit chapeau : le trouves-tu mieux ainsi ? Pour n’aimer pas, faut-il qu’on se haïsse ? J’emmène avec moi Figaro, je lui donne un excellent poste ; et comme le devoir d’une femme est de suivre son mari…. Le moment où débute l’action est rapidement mentionné : « le matin des noces ». Si monseigneur avait cédé le droit de pardonner, ce serait sûrement le premier qu’il voudrait racheter en secret. en deux pas, il est à ma porte, et crac ! Moi qui eus le malheur de troubler la vôtre ! Ah ! Pourtant, les choses ont bien changé. si jamais volée de bois vert appliquée sur une échine, a dûment redressé la moelle épinière à quelqu’un…. [Situer le texte] C’est lui, avec sa fiancée, la servante Suzanne, qui ouvre le spectacle, au moment où il prend les dimensions d’une pièce « à demi démeublée ». Lui et son allié Bazile incarnent le pouvoir (voire la violence brutale), la corruption et l’immoralité. Suzon, depuis deux heures j’épie le moment de te trouver seule. Ah çà, vous autres, la cérémonie adoptée, ma fête de ce soir en est la suite ; il faut bravement nous recorder : ne faisons point comme ces acteurs qui ne jouent jamais si mal que le jour où la critique est le plus éveillée. D’abord, avancer l’heure de votre petite fête, pour épouser plus sûrement ; écarter une Marceline qui de vous est friande en diable ; empocher l’or et les présents ; donner le change aux petites passions de monsieur le comte ; étriller rondement monsieur du Basile, et…. Y a-t-il encore quelque chose là-dessous ? – Je le sais tellement que, si Monsieur le Comte, en se mariant, n’eût pas aboli ce droit honteux, jamais je ne t’eusse épousée dans ses domaines. Qu’il est bien temps que la vertu d’un si bon maître éclate ! Enfin, vous voilà donc, éternel docteur, toujours si grave et compassé, qu’on pourrait mourir en attendant vos secours, comme on s’est marié jadis malgré vos précautions. Dix-neuf pieds sur vingt-six. (À part.) vous savez que je n’en ai pas pour vous. Pardonner généreusement n’est pas le droit du seigneur auquel vous avez renoncé en épousant madame. l’abolition d’un droit honteux n’est que l’acquit d’une dette envers l’honnêteté. Quand Suzanne l’apprend, elle se cabre, elle se bute (répétition pleine de résolution du verbe « vouloir »). le ruban ! Si vous étiez plus raisonnable, il n’y aurait rien d’étonnant à ma question.
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